Nous espérons que la pandémie de Covid-19 touche à sa fin. Bien que ce soit une nouvelle fantastique, cela ne signifie pas nécessairement la fin des problèmes qui ont surgi. Certains sont communs à tous les types d’entreprises, mais d’autres sont uniques au secteur juridique. Dans ce cas, nous nous concentrons ici sur ces spécificités.
L’impact sur la profession
Des données récentes, provenant de diverses sources, suggèrent que le secteur juridique est resté relativement stable, durant la pandémie. Il est clair que certains domaines du droit ont souffert. Pourtant, les tendances générales du nombre d’avocats agréés, observées avant la pandémie, se sont poursuivies et aucun changement significatif n’est aperçu.
Des données montrent que le nombre de cabinets agréés a diminué de 2 % entre décembre 2019 et décembre 2020. Les cabinets d’aide juridique ont eu le plus de mal, avec plus de 70 fermetures depuis avril 2020. Il y avait une dizaine de cabinets de moins agréée à la fin de 2020 par rapport à 2019. La dernière enquête a montré que le chiffre d’affaires annuel des services juridiques en 2020 est resté le même qu’en 2019. Pourtant, le chiffre d’affaires des autres services a diminué de 14 % au cours de la même période. Pour plus d’information, vous pouvez travailler avec une étude d’avocats.
Le retour au bureau physique
Grâce à la troisième mesure nationale qui s’est assouplie depuis avril, nous avons assisté à un retour progressif dans les bureaux. Les directives officielles du gouvernement continuent de recommander au personnel de travailler à domicile si cela est possible. Les règles permettent aux cabinets d’avocats de rester ouverts pendant cette période. Si le personnel ne peut pas travailler à domicile, il pourra travailler au bureau physique. Il est toujours recommandé aux avocats de continuer à essayer de :
- Voir les clients à distance
- Fournir des services virtuellement
Si cela n’est pas possible, les réunions en face à face sont autorisées. Les cabinets doivent s’assurer que leurs bureaux sont sécurisés selon la norme relative au COVID-19. Le gouvernement a fourni un cadre sur la manière de retourner au bureau en toute sécurité, lorsque cela est nécessaire pour le cabinet.
L’impact par type de travail
Les services d’immobilier ont signalé une augmentation considérable de leur charge de travail depuis la réouverture du marché. Malgré ce sentiment initial positif, cela n’a pas été sans problèmes. Il y a eu des problèmes d’obtention de prêts hypothécaires et des retards avec les prêteurs qui ont allongé les transactions.
En matière de droit familial, cette année est marquée par le rebond habituel de janvier dans les instructions familiales. L’effet des familles réunies est maintenant beaucoup plus répandu durant toute l’année plutôt que dans les périodes de vacances. L’utilisation de la technologie, imposée par les exigences de distanciation sociale, a permis un accès continu à la justice familiale.
Les avocats spécialisés dans le droit du travail ont vu une augmentation des demandes de renseignements de la part des employeurs et des employés. Tout ce travail n’a pas été facturable ou récupérable en matière de revenus d’honoraires.